Les sourires n’ont pas dû rester très longtemps sur les visages des dirigeants de l’équipe Arkéa-Samsic après la prolongation de contrat de Nairo Quintana pour les deux prochaines saisons. Le Colombien avait annoncé, mardi, qu’il restait jusqu’en 2025 avec l’équipe française, en bonne voie pour accéder au WorldTour la saison prochaine. Une belle manière d’entrer dans une spirale positive à l’aube d’une première Vuelta pour Arkéa-Samsic, au départ avec une ambition de classement général autour de son leader colombien, sixième du récent Tour de France.
La spirale positive a rapidement tourné dans l’autre sens lorsque, mercredi, l’Union Cycliste Internationale a communiqué la présence de tramadol dans des échantillons de sang séché de Nairo Quintana sur deux étapes du dernier Tour de France : lors de la 7e étape vers la Planche des Belles Filles et lors de la 11e étape vers le col du Granon. Le tramadol, un puissant antidouleur utilisé suite à des accidents ou maladies chroniques, n’est pas interdit par l’Agence Mondiale Antidopage, mais l’UCI a décidé de le bannir en compétition depuis 2019 en raison d’effets secondaires qui peuvent mettre en danger les cyclistes en peloton. Le tramadol peut en effet causer des vertiges et une somnolence importante. Imaginez les effets si ces symptômes apparaissent en pleine course… Ce sont ces effets qui ont été mis en avant par l’UCI pour interdire le tramadol lors des courses.
Vu que la prise de tramadol en compétition n’est qu’une « infraction au règlement médical de l’UCI », et surtout une première infraction dans le chef de Nairo Quintana, le coureur colombien n’est pas suspendu, mais voit seulement ses résultats sur le Tour de France annulés. Quintana a rapidement répliqué en affirmant qu’il n’avait jamais pris ce produit sur le Tour et qu’il allait se défendre auprès du Tribunal Arbitral du Sport (TAS) pour faire annuler cette décision. Il confirmait dans le même temps sa participation à la Vuelta… avant de se raviser moins de 24 heures plus tard, au grand désarroi de son équipe qui ne prévoyait même pas de remplaçant pour la suite de l’épreuve espagnole. Sacrée première Vuelta…
Les sourires n’ont pas dû rester très longtemps sur les visages des dirigeants de l’équipe Arkéa-Samsic après la prolongation de contrat de Nairo Quintana pour les deux prochaines saisons. Le Colombien avait annoncé, mardi, qu’il restait jusqu’en 2025 avec l’équipe française, en bonne voie pour accéder au WorldTour la saison prochaine. Une belle manière d’entrer dans une spirale positive à l’aube d’une première Vuelta pour Arkéa-Samsic, au départ avec une ambition de classement général autour de son leader colombien, sixième du récent Tour de France.
La spirale positive a rapidement tourné dans l’autre sens lorsque, mercredi, l’Union Cycliste Internationale a communiqué la présence de tramadol dans des échantillons de sang séché de Nairo Quintana sur deux étapes du dernier Tour de France : lors de la 7e étape vers la Planche des Belles Filles et lors de la 11e étape vers le col du Granon. Le tramadol, un puissant antidouleur utilisé suite à des accidents ou maladies chroniques, n’est pas interdit par l’Agence Mondiale Antidopage, mais l’UCI a décidé de le bannir en compétition depuis 2019 en raison d’effets secondaires qui peuvent mettre en danger les cyclistes en peloton. Le tramadol peut en effet causer des vertiges et une somnolence importante. Imaginez les effets si ces symptômes apparaissent en pleine course… Ce sont ces effets qui ont été mis en avant par l’UCI pour interdire le tramadol lors des courses.
Vu que la prise de tramadol en compétition n’est qu’une « infraction au règlement médical de l’UCI », et surtout une première infraction dans le chef de Nairo Quintana, le coureur colombien n’est pas suspendu, mais voit seulement ses résultats sur le Tour de France annulés. Quintana a rapidement répliqué en affirmant qu’il n’avait jamais pris ce produit sur le Tour et qu’il allait se défendre auprès du Tribunal Arbitral du Sport (TAS) pour faire annuler cette décision. Il confirmait dans le même temps sa participation à la Vuelta… avant de se raviser moins de 24 heures plus tard, au grand désarroi de son équipe qui ne prévoyait même pas de remplaçant pour la suite de l’épreuve espagnole. Sacrée première Vuelta…