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Le parcours
Paris-Roubaix reste un monument indémodable. Ses caractéristiques particulières, sur des pavés qu’aucune autre région ne peut copier, son tracé historique, ses chemins soignés par des équipes fières de perpétuer cette tradition : ces divers éléments font que la classique du Nord bouge très peu de sa ligne directrice au fil des saisons. Et ne propose finalement que peu de changements malgré les éditions qui s’enchaînent. Pour cette 120e édition masculine, le départ est toujours prévu à Compiègne, devant son château, pour plus de six heures sur la selle jusqu’à Roubaix, 256 kilomètres plus haut. Après une nonantaine de kilomètres sur de larges nationales bercées par le vent (il devrait être portant tout au long de la journée, ce dimanche), les premiers des 29 secteurs pavés du jour s’annoncent pour plus de 54 bornes sur ces routes de campagne.
L’entame se fera par les secteurs rapides de Troisvilles et de Quiévy, mais ils seront surtout longs, et permettront déjà d’étendre le peloton. Le secteur de Saint-Python, le plus long de la journée (3,7 kilomètres), sera déterminant, car souvent facteur de casse et de malchance mécanique… Le peloton redécouvrira en prime le secteur d’Haspres, prévu après 139 kilomètres de course et emprunté pour la première fois depuis 2004. Un secteur “trois étoiles” qui ajoutera un peu de piment sur le tracé. Mais les favoris patienteront certainement jusqu’à trente kilomètres plus loin, et verront leurs pulsations grimper, tout comme la pression, à l’aube du premier secteur “cinq étoiles” de la journée : la Trouée d’Arenberg. Cette cuvette aux pavés cassants verra des coureurs démarrer à plus de 50 km/h dans les premiers hectomètres, avant un long faux-plat montant jusqu’à la sortie de cette forêt minière. Un problème, une chute ou un mauvais placement dans ce secteur ne signifie pas la fin de la course, mais elle peut signifier l’abandon de tout espoir de victoire. L’effort est rude, les écarts se creusent, et il reste encore 18 secteurs et plus de 30 kilomètres de pavés à avaler.
La suite est bien connue des spécialistes. Après des passages difficiles à Wandignies et Sars-et-Rosières, le prochain juge de paix sera le secteur 11, de Mons-en-Pévèle. Trois kilomètres en “S” avec des virages dangereux sur des pavés annoncés comme gras et des tronçons difficiles pour les roues. Une première décision pourrait se faire sur ce secteur à moins de 50 bornes de l’arrivée. Et si aucun coureur en solitaire n’a obtenu le bon ticket de sortie, il reste le fameux Carrefour de l’Arbre, prévu à 17 kilomètres du but. Ce chemin se veut très cassant et sinueux dans sa première partie, avant un faux-plat montant qui casse les pattes avec ce vent souvent de côté. Ce dernier passage “5 étoiles” sera déterminant dans la course au succès.
Après les secteurs aisés de Gruson et de Hem (même si la mise en place de panneaux sur les bas-côtés a changé les stratégies sur ce secteur), les coureurs devront encore affronter quelques courtes ascensions non répertoriées qui feront mal aux pattes avant de descendre à toute vitesse jusqu’à Roubaix. Pour un dernier kilomètre qui annonce l’arrivée sur le vélodrome André Pétrieux, arrivée mythique. Un tour et demi ou 400 mètres pour choisir celui qui succèdera à Dylan van Baarle au palmarès de l’une des courses historiques les plus importantes du calendrier.
Présentation des coureurs : de 9h40 à 11h00 sur la place du général de Gaulle à Compiègne
Départ fictif : 11h10 sur la place du général de Gaulle à Compiègne
Départ réel : 11h25 sur la D130 à Choisy-au-Bac, après 7,2 km en défilé
Distance : 256,6 kilomètres
Les difficultés du jour :
Secteur 29 : Troisvilles à Inchy (km 96,3 – 2,2 km de long) – ⭐️⭐️⭐️
Secteur 28 : Viesly à Quiévy (km 102,8 – 1,8 km) – ⭐️⭐️⭐️
Secteur 27 : Quiévy à Saint-Python (km 105,4 – 3,7 km) – ⭐️⭐️⭐️⭐️
Secteur 26 : Saint-Python (km 110,1 – 1,5 km) – ⭐️⭐️
Secteur 25 : Vertain à Saint-Martin-sur-Ecaillon (km 117,2 – 2,3 km) – ⭐️⭐️⭐️
Secteur 24 : Verchain-Maugré à Quérénaing (km 127,2 – 1,6 km) – ⭐️⭐️⭐️
Secteur 23 : Quérénaing à Maing (km 129,9 – 2,5 km) – ⭐️⭐️⭐️
Secteur 22 : Maing à Monchaux-sur-Ecaillon (km 133 – 1,6 km) – ⭐️⭐️⭐️
Secteur 21 : Haspres à Thiant (km 139,6 – 1,7 km) – ⭐️⭐️⭐️
Secteur 20 : Haveluy à Wallers (km 153,1 – 2,5 km) – ⭐️⭐️⭐️⭐️
Secteur 19 : Trouée d’Arenberg (km 161,3 – 2,3 km) – ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️
Secteur 18 : Wallers à Hélesmes (km 167,4 – 1,6 km) – ⭐️⭐️⭐️
Secteur 17 : Hornaing à Wandignies (km 174,1 – 3,7 km) – ⭐️⭐️⭐️⭐️
Secteur 16 : Warlaing à Brillon (km 181,6 – 2,4 km) – ⭐️⭐️⭐️
Secteur 15 : Tilloy à Sars-et-Rosières (km 185,1 – 2,4 km) – ⭐️⭐️⭐️⭐️
Secteur 14 : Beuvry à Orchies (km 191,4 – 1,4 km) – ⭐️⭐️⭐️
Secteur 13 : Orchies (km 196,5 – 1,7 km) – ⭐️⭐️⭐️
Secteur 12 : Auchy à Bersée (km 202,6 – 2,7 km) – ⭐️⭐️⭐️⭐️
Secteur 11 : Mons-en-Pévèle (km 208 – 3 km) – ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️
Secteur 10 : Mérignies à Avelin (km 214 – 0,7 km) – ⭐️⭐️
Secteur 9 : Pont-Thibault à Ennevelin (km 217,4 – 1,4 km) – ⭐️⭐️⭐️
Secteur 8 : Templeuve – L’Epinette (km 222,8 – 0,2 km) – ⭐️
Secteur 8 : Templeuve – Moulin-de-Vertain (km 223,3 – 0,5 km) – ⭐️⭐️
Secteur 7 : Cysoing à Bourghelles (km 229,8 – 1,3 km) – ⭐️⭐️⭐️
Secteur 6 : Bourghelles à Wannehain (km 232,3 – 1,1 km) – ⭐️⭐️⭐️
Secteur 5 : Camphin-en-Pévèle (km 236,7 – 1,8 km) – ⭐️⭐️⭐️⭐️
Secteur 4 : Carrefour de l’Arbre (km 239,5 – 2,1 km) – ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️
Secteur 3 : Gruson (km 242,3 – 1,1 km) – ⭐️⭐️
Secteur 2 : Willems à Hem (km 248,4 – 1,4 km) – ⭐️⭐️
Secteur 1 : Roubaix (km 255,2 – 0,3 km) – ⭐️
Horaires de passage : cliquez ici pour découvrir les heures de passage
Arrivée : entre 17h07 et 17h40 sur le vélodrome André Pétrieux à Roubaix
La carte de l’épreuve :
Les favoris
Quelle campagne des flandriennes… La domination des Jumbo-Visma, la persévérance de Mathieu Van der Poel, les fulgurances de Tadej Pogacar, les offensives anticipatives des autres formations pour bouleverser ce beau monde. Ce printemps propose déjà l’une des plus belles campagnes sportives de ces dernières années grâce à des athlètes d’exception. Et ce n’est pas fini ! Paris-Roubaix sonne la fin de cette période des courses du Nord, et elle annonce encore une bagarre de costauds. Avec une revanche attendue entre les deux déçus du dernier Tour des Flandres : Mathieu Van der Poel et Wout van Aert.
Commençons par celui qui a eu le plus de mal à digérer ce Ronde. Wout van Aert, quatrième au bout d’une course perdue sur les pavés du Kruisberg, enchaîne depuis dimanche les déclarations peu optimistes sur sa condition. L’ancien champion de Belgique rêve évidemment d’une première victoire de rêve sur Paris-Roubaix, et souhaite offrir ce succès à Michael Goolaerts, son équipier chez Vérandas Willems-Crelan décédé en 2018 sur les routes de Paris-Roubaix. Cinq ans plus tard, la symbolique serait belle. Et dans le même temps, il évoque ses courbatures et douleurs des suites de la chute collective dont il a été l’une des victimes sur le Tour des Flandres. Ces soucis physiques pourraient-ils mettre à mal l’ambition de Van Aert sur un terrain qui lui a toujours été promis ? Les pavés n’ont pourtant jamais été tendres avec le cyclo-crossman, qui a enchaîné les déconvenues mécaniques ou les malheurs physiques sur cet Enfer du Nord. Parfaitement entouré cette saison, Van Aert veut croire en sa bonne étoile malgré tout. Surtout dans une équipe qui multiplie les chances de succès. Avec le tenant du titre Dylan van Baarle, absent du Tour des Flandres en raison de douleurs au genou et qui revient sur Paris-Roubaix avec une nouvelle ambition. Avec Christophe Laporte, encore une fois le deuxième meilleur Jumbo-Visma sur le Ronde et capable de briller sur ces pavés vu ses qualtiés de routier-sprinter. Avec Tiesj Benoot, qui doit une revanche à ses équipiers après une campagne difficile depuis sa victoire sur Kuurne-Bruxelles-Kuurne. Il y a des talents pour aider le Belge à éviter l’effort de trop. Il reste à ce que la tactique et le physique suivent. En plus de la mécanique : trois coureurs de l’équipe (Van Baarle, Laporte et Edoardo Affini) vont en effet utiliser une nouvelle technologie de gestion de pression des pneus, pour permettre d’adapter cette pression selon les routes empruntées. Cela offrira-t-il l’avantage déterminant jusqu’au vélodrome ? À suivre…
Chez Mathieu Van der Poel, l’optimisme semble bien plus important, tant le coureur néerlandais a enchaîné les signaux positifs ces dernières semaines. Victoire à Milan-Sanremo, deuxième place sur le Tour des Flandres derrière un Pogacar qu’il estimait intouchable, victoire de son équipier Jasper Philipsen à laquelle il a contribué sur le Grand Prix de l’Escaut, mercredi dernier. Le leader d’Alpecin-Deceuninck sent que cette séquence printanière lui est favorable. Sur le dernier Ronde, malgré deux cassures dans le peloton et le départ rapide de ses fidèles équipiers Søren Kragh Andersen et Silvan Dillier, il a tout de même assuré le boulot. Alors, sur Paris-Roubaix, on peut attendre le cycliste batave en bonne place. Surtout avec Silvan Dillier, ex-dauphin de Peter Sagan en 2018, Gianni Vermeersch ou Jasper Philipsen pour l’épauler ou jouer les contres.
Qui pourra faire la différence sur ce duo exceptionnel ? Ils seront nombreux à rêver d’une alliance contre le Belge et le Néerlandais. La rivalité peut également jouer en leurs faveurs. Mais sur les pavés, le physique comptera avant tout. Et sur ces routes, l’Italien Filippo Ganna (INEOS Grenadiers) apparaît comme l’un des plus solides. L’ancien champion du monde du contre-la-montre a confirmé sur les précédentes classiques printanières qu’il avait les qualités requises pour voler sur les pavés. Après une dixième place encourageante sur l’E3 Saxo Classic, il a toutefois dû abandonner sur chute, deux jours plus tard, sur Gand-Wevelgem. Sera-t-il remis pour Roubaix ? Il a en tout cas tout misé sur cette classique, évitant le Tour des Flandres afin de ne pas surchauffer le moteur à l’aube d’une classique qui lui convient mieux sur papier, où la puissance et l’endurance font tout.
Et si les Danois faisaient main basse sur le Nord ? Parmi les plus costauds du peloton, l’ex-champion du monde Mads Pedersen (Trek-Segafredo) occupe les premières positions. Ce dur-au-mal a encore réussi à obtenir une troisième place sur le Tour des Flandres après avoir anticipé à plus de 90 bornes de l’arrivée. Sur Paris-Roubaix, un tel mouvement peut aussi faire mouche. Avec Jasper Stuyven dans son collectif, Pedersen doit avoir cette manoeuvre en tête. Son compatriote Kasper Asgreen (Soudal Quick Step) sera aussi scruté, lui qui a obtenu une septième place sur le dernier Ronde, le meilleur résultat d’un coureur de son équipe sur un monument, cette saison. Il semble aussi monter en puissance au fil du printemps, et espère compter sur un Wolfpack plus solide qu’en Flandre, avec le local Florian Sénéchal, le champion de Belgique Tim Merlier et Yves Lampaert comme principaux alliés.
En vue également parmi les outsiders du Tour des Flandres, le Suisse Stefan Küng endossera à nouveau le costume de leader de la Groupama-FDJ sur Paris-Roubaix. Il sera cette fois l’unique homme fort d’un groupe orphelin d’Arnaud Démare, en difficultés depuis le début de la saison. Cette classique semble idéale pour le rouleur helvète, qui avait déjà tenté d’anticiper à plusieurs reprises ces dernières saisons, sans succès. Sa troisième place en 2022 doit toutefois lui donner confiance pour cette édition. Également sur le podium de Paris-Roubaix, en 2019 (2e), l’Allemand Nils Politt (Bora-Hansgrohe) aura également une pancarte d’outsider vu ses qualités de rouleur et les envies offensives qu’il a affichées sur les dernières classiques printanières, pourtant moins adaptées à son physique imposant. Sur les pavés, il pourra s’en donner à coeur joie.
Et côté belge, si Van Aert aura évidemment un statut à part, d’autres coureurs peuvent s’ajouter à la liste des candidats, au moins à un Top 10, sur ce Paris-Roubaix. Sep Vanmarcke (Israel Premier Tech), troisième du dernier Gand-Wevelgem et déjà auteur de quatre Top 5 sur Paris-Roubaix (2e en 2013, 4e en 2014, 2016 et 2019), rêve évidemment de revivre un moment de grâce sur les pavés, lui qui semble enchaîner les coups de malchance à 34 ans. Florian Vermeersch (Lotto-Dstny) semble pour sa part retrouver le niveau qui l’avait envoyé sur la deuxième marche du podium de Paris-Roubaix en 2021. Propulsé leader d’une équipe orpheline du capitaine de route Victor Campenaerts, le coureur de 24 ans semble s’en accomoder, en atteste sa récente douzième place sur le Tour des Flandres. Il sera notamment accompagné de la nouvelle terreur belge du sprint, Arnaud De Lie, qui va découvrir son deuxième monument après Milan-Sanremo. Ces pavés semblent parfaitement convenir à son profil. Mais sans expérience, le coureur de 21 ans pourra-t-il faire face aux meilleurs de la discipline ? Il aura en tout cas des solides équipiers dans cette formation 100% belge, avec Frederik Frison ou Cédric Beullens.
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⭐️⭐️⭐️
Filippo Ganna 🇮🇹 (INEOS Grenadiers)
Wout van Aert 🇧🇪 (Jumbo-Visma)
Mathieu Van der Poel 🇳🇱 (Alpecin-Deceuninck)
⭐️⭐️
Kasper Asgreen 🇩🇰 (Soudal Quick Step)
Stefan Küng 🇨🇭 (Groupama-FDJ)
Christophe Laporte 🇫🇷 (Jumbo-Visma)
Mads Pedersen 🇩🇰 (Trek-Segafredo)
Nils Politt 🇩🇪 (Bora-Hansgrohe)
⭐️
Arnaud De Lie 🇧🇪 (Lotto-Dstny)
Stan Dewulf 🇧🇪 (Ag2r Citroën Team)
Alexander Kristoff 🇳🇴 (Uno-X Pro Cycling Team)
Matis Louvel 🇫🇷 (Arkéa-Samsic)
Matej Mohoric 🇸🇮 (Bahrain Victorious)
Florian Sénéchal 🇫🇷 (Soudal Quick Step)
Jasper Stuyven 🇧🇪 (Trek-Segafredo)
Matteo Trentin 🇮🇹 (UAE Team Emirates)
Dylan van Baarle 🇳🇱 (Jumbo-Visma)
Sep Vanmarcke 🇧🇪 (Israel Premier Tech)
Florian Vermeersch 🇧🇪 (Lotto-Dstny)
Max Walscheid 🇩🇪 (Cofidis)
Les partants
▶️ Cliquez ici pour télécharger la liste des partants en PDF
Data powered by FirstCycling.com
Le palmarès
2013 Fabian Cancellara 🇨🇭
2014 Niki Terpstra 🇳🇱
2015 John Degenkolb 🇩🇪
2016 Mathew Hayman 🇦🇺
2017 Greg Van Avermaet 🇧🇪
2018 Peter Sagan 🇸🇰
2019 Philippe Gilbert 🇧🇪
2020 Édition annulée suite au Covid-19
2021 Sonny Colbrelli 🇮🇹
2022 Dylan van Baarle 🇳🇱
La météo
Le ciel sera nuageux avec des éclaircies au fil de la journée. Les températures seront comprises entre 8 et 11°C en matinée, et entre 13 et 15°C dans l’après-midi. Le vent soufflera de sud-est à est-sud-est entre 10 et 15 km/h.
▶️ Plus d’informations sur la météo et la direction du vent sur le site de Météo-France
Le programme TV
- En direct dès 13h40 sur La Une et sur RTBF Auvio
- En direct dès 13h30 sur Één et sur Sporza.be
- En direct dès 11h00 sur Eurosport 1, Eurosport.com et GCN+
- En direct dès 10h55 sur France 3, puis dès 11h35 sur France 4, puis dès 12h55 sur France 3, et en direct dès 10h55 sur France.tv
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