Ce que les favoris et participants du Tour de France ont à dire avant le départ

Découvrez l’ensemble des réactions enregistrées ces deux derniers jours à Lille par les favoris… et les autres avant le départ du Tour de France 2025. De Tadej Pogacar à Jonas Vingegaard en passant par Remco Evenepoel, Jasper Philipsen ou Biniam Girmay.
Photo : ASO/Aurélien Vialatte

➡️ Notre présentation complète : favoris, règlement, parcours, programme TV…

Tadej Pogacar 🇸🇮 (UAE Team Emirates XRG)

– « Je pense que ces cinq dernières années sur le Tour de France ont été plutôt intenses entre moi, Jonas (Vingegaard) et même d’autres. Cela a été jusqu’ici une belle rivalité, un beau combat. C’est encore la même chose cette saison. Ce sera intéressant de voir si on peut encore batailler à nous deux. Mais on ne sait jamais que d’autres jeunes créent la surprise. Tout peut arriver sur une course aussi longue. Mais je suis impatient de faire face à Jonas à nouveau, il a l’air d’être en grande forme. Et je suis aussi impatient de me battre pour le maillot jaune face aux autres aussi, sur des terrains aussi différents. »

– « Ma saison est parfaite jusqu’ici. C’est évidemment un honneur d’être favori. J’espère être à la hauteur des attentes. Jonas sera peut-être plus fort que moi, on verra. En tout cas, c’est l’un des meilleurs grimpeurs de cette génération. Voire le meilleur. C’est également un très bon coureur de contre-la-montre, parfois meilleur que moi. Nous verrons sur ce Tour qui sera le meilleur sur quel terrain. »

– « La première semaine du Tour est toujours la plus nerveuse. Vous pouvez perdre le Tour de France durant ces dix premiers jours. Il y a aussi des opportunités avec des arrivées pour puncheurs, des arrivées sinueuses. Il y a également un contre-la-montre. Mon objectif ne sera probablement pas de gagner du temps durant cette première semaine de course, mais comme toujours, il faut être prudent durant ces premiers jours et ne pas foirer pour le reste de l’épreuve. »

– « On a beaucoup d’arrivées au sommet difficiles sur ce Tour. Je pense que l’étape du col de la Loze avec trois sommets et près de 5.000 mètres de dénivelé sera importante, mais cela ne signifie pas qu’il s’agit de la plus compliquée pour moi. J’espère surtout être en bonne forme pour ce moment important. Je suis confiant »

– « Je n’avais pas fait attention qu’il n’y avait plus de secondes de bonification au-delà de l’arrivée. Les sprints bonus apportent toujours un stress supplémentaire pour les coureurs du classement général. Je suis juste content de juste devoir sprinter pour les arrivées. »

Photo : ASO/Aurélien Vialatte

Remco Evenepoel 🇧🇪 (Soudal Quick-Step)

– « Il est logique au vu des dernières éditions que Tadej Pogacar et Jonas Vingegaard seront une nouvelle fois les grands favoris et que je devrai mener une farouche compétition face à eux. Mais je suis ici pour tenter de leur rendre la vie compliquée. L’an dernier, j’étais le troisième gars au classement général, j’espère faire mieux que cela cette année. »

– « Mon objectif, c’est de gagner les trois Grands Tours. J’en ai déjà remporté un (la Vuelta 2022), il m’en manque deux et ma troisième place l’an dernier montre que je suis capable de le faire ici. »

– « Après le championnat de Belgique, j’ai senti que j’avais de bonnes sensations, que je poussais la puissance attendue dans le contre-la-montre et j’ai finalement réalisé une bonne course en ligne. J’ai senti que j’avais récupéré un bon niveau, j’espère que cela se ressentira durant le Tour. »

– « Le travail dans la haute montagne, cela ne se fait pas en dix jours, mais sur plusieurs mois, voire plusieurs années. Surtout quand on n’est pas physiologiquement un grimpeur, comme moi. C’est quelque chose que je dois travailler chaque hiver. Mais je suis satisfait du niveauque j’ai pour l’instant. »

– « S’il y a un gars que je ne voulais pas manquer, c’est bien Mikel (Landa), mais c’est celui qui a subi les pires blessures. C’est celui qui va nous manquer le plus dans l’équipe. Mais il me répond toujours et dès que j’aurai des questions, je n’hésiterai pas à l’appeler et à lui envoyer des messages pour lui demander conseil si nécessaire. »

– « Je suis content de savoir qu’il n’y a plus de secondes de bonification sur certains sommets comme ces dernières années. Mais pour une fois, je vais me permettre de vous poser une question : est-ce qu’on devrait aussi mettre en place des bonifications sur les contre-la-montre ? On doit déjà tellement passer de temps sur le vélo, c’est difficile d’entendre qu’on a en plus perdu dix secondes supplémentaires juste en raison de la position. »

– « Concernant le contre-la-montre, c’est difficile de faire une estimation. Ce sera le double de la distance du Dauphiné, mais plus plat. Mes adversaires ne pourront donc pas profiter de leur puissance en montée. L’an dernier, j’étais plutôt confiant sur le fait que j’allais pouvoir reprendre 20 à 30 secondes, finalement, ce n’était que 12 secondes d’avance sur Pogacar. Cela dépendra donc de la forme du jour, mais le parcours me convient mieux qu’à Tadej et Jonas. J’espère reprendre du temps et gagner, c’est le principal objectif. »

Photo : ASO/Aurélien Vialatte

Jonas Vingegaard 🇩🇰 (Team Visma | Lease a Bike)

– « C’est chouette comme compliment de Tadej (Pogacar) de dire que je suis potentiellement le meilleur grimpeur du peloton. Mais nous avons vu durant le Dauphiné que Tadej était meilleur que moi durant les montées plus longues. J’espère que je pourrai être meilleur que lui sur ce Tour. Nous avons une équipe forte et nous croyons en notre stratégie. »

– « Je pense que les dix premiers jours seront évidemment très importants. Ce sera un départ effréné… C’est aussi la première fois que je connaîtrai un sprint massif sur la première étape. Quand je regardais le Tour étant petit, j’avais l’impression que c’était toujours aussi tumultueux durant les premiers sprints. Il faudra donc essayer de ne pas perdre de temps et aller gagner du temps dans la montagne ensuite. »

– « Je peux dire que je suis plus fort que je n’ai jamais été. J’étais aussi à un très haut niveau l’an dernier, mais c’était différent, car j’avais bien moins de muscles, mais j’étais aussi plus maigre. Je suis un peu plus lourd désormais, mais c’est du muscle, et on sait que cela donne plus de puissance. On verra si cela sera suffisant. »

– « L’an dernier, après ma lourde chute, et cela m’a pris bien plus longtemps d’enfin revenir à mon niveau. Cela m’a pris plusieurs mois pour que mon corps revienne à l’état dans lequel il était avant la chute. Cela m’a pris au moins presqu’un an de revenir au même niveau. En plus, en restant immobile durant deux semaines après la chute, j’ai perdu beaucoup de muscle. Nous avons essayé de récupérer cela, et nous avons visiblement réussi. »

– « Avoir un rival comme Tadej (Pogacar), cela vous pousse à vous dépasser, à donner le meilleur de vous-même, à s’entraîner encore plus. Cela me rend encore meilleur en tant que cycliste. J’ai beaucoup d’admiration pour Tadej, c’est un super coureur. »

– « Je suis content aussi quand Wout (van Aert) gagne une étape. S’il peut rouler aussi plusieurs jours en jaune, j’en serais heureux. On a discuté et l’objectif principal est de gagner le Tour de France à Paris. On ne veut donc pas compromettre cela. Mais s’il y a une opportunité pour l’aider sans compromettre nos chances finales, j’aimerais évidemment le faire. »

– « J’ai déjà montré par le passé que même si vous ne réalisez pas un bon contre-la-montre sur le Dauphiné, vous pouvez être meilleur sur le Tour de France. Beaucoup de choses peuvent se passer entre les deux courses. On verra sur la cinquième étape comment cela a évolué. »

Photo : ASO/Aurélien Vialatte

Primoz Roglic 🇸🇮 (Red Bull-Bora-Hansgrohe)

– « La préparation n’a évidemment pas été idéale. C’est toutefois difficile de comparer par rapport aux précédentes années. J’ai tenté de tout faire pour être au meilleur niveau possible. On verra ce que ça a donné dès les premières étapes certainement. Mais je suis ce que je suis, j’essaie toujours d’être le meilleur, d’atteindre mes rêves, de faire le travail pour être au mieux. Mais l’environnement autour de soi déterminera aussi la place à laquelle je terminerai, et la place que je mérite. J’ai connu des moments difficiles, c’est sûr, je vais tout faire pour en connaître des bons aussi. »

– « L’important c’est surtout la façon dont on gère ces situations difficiles par la suite, savoir en tirer des enseignements. On ne peut pas goûter la saveur des bonnes choses sans connaître les difficultés. »

– « Nous avons beaucoup de coureurs solides dans l’équipe. On l’a vu sur le Giro avec Giulio (Pellizarri), cette fois avec Florian (Lipowitz) qui a montré qu’il était à un très haut niveau sur le Critérium du Dauphiné. Alors, pourquoi ne pourrait-il pas faire la même chose sur le Tour de France ? »

Photo : ASO/Charly Lopez

Mathieu van der Poel 🇳🇱 (Alpecin-Deceuninck)

– « Nous avons seulement fait la reconnaissance de la première étape. Ensuite, est-ce que je peux m’imposer plus tard ? Je pense qu’il y a beaucoup de concurrents pour le classement général qui sont par ailleurs de bons coureurs de classiques. Ils vont aussi se battre pour une bonne position et pour gagner ou ne pas perdre quelques secondes. Cela sera très nerveux. Ce sera une course très rude, donc beaucoup de coureurs peuvent gagner sur ce type d’étape, même en première semaine. »

– « Le maillot vert n’est pas un objectif pour le moment, parce que cela voudrait dire que je devrais tenter ma chance dans des sprints massifs, or nous avons un objectif clair, celui de mener les sprints massifs pour Jasper (Philipsen). On verra comment cela tourne durant ce Tour, mais je ne démarre avec l’objectif évident de viser le classement par points. »

– « Cette dernière étape avec la butte Montmartre risque d’amener beaucoup de stress. Ce sera aussi un gros peloton qui sera au pied de Montmartre, alors qu’ils étaient moins de 100 aux Jeux olympiques. On verra ce qui arrivera, mais je comprends les coureurs qui ne sont pas très fan de l’idée. »

– « Je ne pense pas que ça change grand-chose pour la sécurité : que vous ajoutiez ou supprimiez quelque chose sur le parcours, ce sont souvent les comportements des coureurs qui peuvent mener à des chutes. Ce qui est normal car tout le monde essaie de se positionner alors que l’espace est parfois trop restreint. Mais je pense que rendre le peloton plus gros est une erreur, et qu’il faut moins d’équipes et moins de participants, ce qui ferait, je pense,la plus grande différence pour la sécurité. »

– « L’arrivée de Kaden Groves dans la sélection pour ce Tour de France ne change pas mes objectifs. Je serai toujours dans le train pour aider Jasper (Philipsen), mais c’est un coureur aussi intéressant pour bien positionner notre principal sprinter. »

Photo : ASO/Charly Lopez

Wout van Aert 🇧🇪 (Team Visma | Lease a Bike)

– « Le principal objectif pour l’ensemble de l’équipe est évidemment d’avoir le maillot jaune avec Jonas (Vingegaard). Les étapes qui devraient me convenir, notamment en première semaine, sont également celles sur lesquelles il sera important de garder Jonas à l’avant. Je pense qu’on profitera tous les deux d’une équipe très forte pour bien nous positionner et être présents pour jouer les finales d’étapes. »

– « Je n’ai pas le maillot vert en tête. Je pense qu’il sera difficile de prendre suffisamment de points sur les sprints massifs. Et avec les ambitions de classement général que nous avons sur le plan collectif, on pourra parfois souffler, alors que l’objectif du maillot vert demande d’être présent tout le temps. Pour être honnête, j’ai vraiment profité de ma victoire au classement par points il y a quelques années, mais j’ai encore plus profité de toutes mes victoires d’étape sur le Tour. C’est ce sur quoi je veux me concentrer. »

– « Je suis certain que certaines étapes auront l’air et le parfum de classiques. Le parcours est très intéressant, avec quelques pièges qui rendront le scénario intéressant, c’est certain. Les montagnes décideront de la victoire finale, mais la première semaine de course sera déjà cruciale. C’est intéressant pour les coureurs comme moi. »

– « Ce serait chouette pour moi que je sois aussi bien après avoir fait le Giro que l’an dernier après avoir fait le Tour. C’est aussi une question que j’ai : est-ce que faire deux Grands Tours peut me permettre de mieux performer sur la deuxième course ? On ne sait jamais. On ne peut pas tout prévoir. »

– « Il y a certainement bien plus de puissance en montagne dans l’équipe que dans mes propres jambes (sourire). Je ne serai évidemment pas le dernier homme à travailler. Mais cela sera intéressant de s’avoir si on me laissera encore aller dans une échappée ou non. »

– « Je n’aime pas beaucoup ce changement sur la dernière étape. J’aimais bien cette arrivée pour sprinters sur les Champs-Élysées. Les gens disent que c’est une parade, mais je peux vous dire qu’on souffre quand on est une heure à fond pour tenir les roues avant le sprint final. C’était historique d’avoir une telle étape, et je ne vois pas de raison de changer. D’un autre côté, le parcours désormais proposé me convient probablement mieux. J’espère juste que la course sera sûre et que la malchance ne changera pas le classement (général). »

Photo : ASO/Aurélien Vialatte

Jasper Philipsen 🇧🇪 (Alpecin-Deceuninck)

– « La forme est assez bonne. Je me sens même meilleur que l’an dernier avant le début du Tour de France. Ce sera nécessaire vu que les plus grandes chances de victoire pour notre équipe interviennent en première semaine. Durant la seconde et la troisième semaines, je ne vois pas beaucoup de possibilités de victoire pour nous. Il sera important d’être immédiatement dans une spirale victorieuse. »

– « Le maillot jaune sera évidemment un objectif dès la première étape. C’est la première fois que je peux viser le maillot jaune. Parce que quand le Tour de France a démarré de Bruxelles (en 2019), j’étais encore très jeune. Maintenant, c’est une réelle opportunité pour moi, et il ne risque pas d’y en avoir beaucoup à l’avenir. Ce samedi sera donc une journée importante. Si cela ne fonctionne pas lors de la première étape, il y aura évidemment d’autres chances, et je ne veux pas ruiner mon Tour avec une déception. Cette course dure trois semaines, c’est long, et il y aura encore beaucoup d’opportunités en vue. »

– « Cette dernière étape avec la butte Montmartre, c’est une nouveauté que l’organisation veut essayer. On a vu lors des Jeux olympiques que beaucoup de choses peuvent se passer là-bas et que cela peut ouvrir la course. L’état d’esprit sera différent dans le contexte d’une dernière étape du Tour de France. Normalement, on sait que le Tour est terminé, cette fois les concurrents du général devront garder Montmartre en tête et rester concentrés. »

Photo : ASO/Charly Lopez

Biniam Girmay 🇪🇷 (Intermarché-Wanty)

– « Je n’ai pas vraiment connu le début de saison que je voulais. Je n’ai pas encore connu de succès cette saison, mais j’ai obtenu beaucoup de deuxièmes, troisièmes places. Et ma préparation est globalement bonne. Ce ne sera pas facile d’encore gagner trois étapes et le maillot vert comme l’an dernier. L’objectif principal restera de remporter une nouvelle étape. »

– « On a une grande équipe pour bien me placer, mais aussi aller à l’avant. Nous avons de bons coureurs, comme Georg (Zimmermann), Jonas (Rutsch), Louis (Barré) pour aller dans une échappée et essayer d’anticiper. Je suis aussi heureux du train que nous avons . »

– « Un stage en altitude ? Pour moi, c’est juste rentrer à la maison, ça me suffit (sourire). Cela a bien fonctionné ces trois dernières années, j’espère que cela me permettra à nouveau d’être au niveau souhaité cette saison. »

– « Je sais qu’il y a des étapes typées pour les puncheurs qui pourraient me convenir. Je ne sais pas si j’ai plus de chance de gagner dans un sprint massif ou dans une telle étape, mais je vais tout donner pour obtenir cette victoire d’étape. Le maillot vert n’est pas l’objectif premier pour l’instant. »

Photo : ASO/Charly Lopez

Simon Yates 🇬🇧 (Team Visma | Lease a Bike)

– « Je n’ai pas vraiment eu beaucoup de jours pour célébrer ma victoire sur le Tour d’Italie. Mais c’était le plan dès le début de l’année que je roule le Giro en leader, puis le Tour de France en soutien de Jonas (Vingegaard). Ce n’était pas une surprise, je savais que j’allais rejoindre rapidement les autres pour un stage à Tignes. On a travaillé dur pour arriver ici en bonne forme. La condition est plutôt bonne, je pense. »

– « Concernant Adam (Yates), ce n’est pas nouveau qu’on roule pour deux équipes différentes. Nous sommes très proches, on s’entend très bien, mais dès que la compétition commence, nous restons très professionnels. On fait juste notre job. »

– « Je n’ai jamais vraiment été dans ce rôle d’équipier pour un leader capable de gagner un Grand Tour. Je n’ai pas peur de ce rôle, je pense que je peux faire du bon travail, mais ce sera nouveau pour moi. On verra comment cela se passe. »

– « On n’a jamais roulé ensemble en compétition (avec Vingegaard), on a seulement été ensemble en stage. Mais rouler pour un coureur de ce calibre, c’est un véritable honneur. »

– « Je ne vais pas perdre du temps exprès. Je ne suis pas là pour rester à l’arrière, mais pour protéger Jonas. Ce sera en tout cas piégeux, je vais tout faire pour essayer de survivre. »

Le Britannique Simon Yates (Team Visma-Lease a Bike) attaque l'Équatorien Richard Carapaz (EF Education-EasyPost) et le Mexicain Isaac del Toro (UAE Team Emirates-XRG) sur le Colle delle Finestre, lors de la 20e étape du Tour d'Italie, le 31 mai 2025 - Crédit : RCS Sport/La Presse/Fabio Ferrari
Le Britannique Simon Yates (Team Visma-Lease a Bike) attaque l’Équatorien Richard Carapaz (EF Education-EasyPost) et le Mexicain Isaac del Toro (UAE Team Emirates-XRG) sur le Colle delle Finestre, lors de la 20e étape du Tour d’Italie, le 31 mai 2025 – Crédit : RCS Sport/La Presse/Fabio Ferrari

Lenny Martinez 🇫🇷 (Bahrain Victorious)

– «  Dans le Dauphiné, j’ai connu quelques journées difficiles, sauf lors de la dernière étape durant laquelle j’étais très bien. Je pense que j’ai pu récupérer et que je suis toutefois en bonne forme pour ce Tour. »

– « Je viserai particulièrement les étapes. Je sais que si je souhaite gagner une étape sur le Tour, ce sera certainement avec une arrivée au sommet. Donc il est possible que je prenne alors des points pour le maillot à pois. Ce sera toutefois un objectif secondaire. Je ne viserai en tout cas pas le classement général, mon but principal sera d’obtenir un succès d’étape. »


Louis Barré 🇫🇷 (Intermarché-Wanty)

– « La première partie du parcours me conviendra mieux, je pense, avec beaucoup d’étapes pour les puncheurs. Mais il y a aussi les étapes dans le Massif central et dans les Pyrénées qui pourraient aussi convenir à mes qualités. J’essayerai en tout cas de prendre les échappées. »

– « J’ai été très loin sur le Dauphiné et je me suis vidé. C’est pour cela que j’ai connu un coup de moins bien sur la dernière étape. Mais c’était un bon test pour le Tour de France, je n’ai pas d’inquiétude pour ce mois de juillet. Cela fait partie de l’apprentissage. »

– « Je ne sais pas trop à quoi m’attendre concernant le public et l’attention médiatique. J’ai déjà vu ce jeudi lors de la présentation des équipes qu’il y avait beaucoup de monde. C’est tout de même nouveau pour moi. »

Total
0
Shares
Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.

Précédent article
Le Slovène Tadej Pogacar maillot jaune, l'Érythréen Biniam Girmay, l'Équatorien Richard Carapaz et le Belge Remco Evenepoel sur le podium final du Tour de France 2024, le 21 juillet 2024 à Nice. - Photo : ASO/Charly Lopez

Notre présentation complète du Tour de France 2025 : favoris, règlement, programme TV…

Articles similaires
Total
0
Share